bonheurs
petits bonheurs pourriérois * sentir le soleil ! *
combien pèse un flocon de neige ? *
Pour moi (bM) les moments de bonheur, ces temps ci, c'est
d'échanger avec tel ou telle et avec mes autres correspondants.
Mardi soir j’étais, en direct, connecté à la fois
sur le Québec et le Brésil ! Un vrai triangle d’amour grâce
à Internet !
Peut être un jour, bientôt, je le ferai, de l'autre monde,
des coucous d'âme à âme ?
Il n'y a pas grande différence, je trouve entre ce monde virtuel
informatique et le monde des âmes.
- Mettre en pages quelques réflexions sur des sujets qui
me tiennent à cœur et les présenter d'une façon
suffisamment attrayante pour en débattre avec les personnes qui
vont sur mon site, c’est encore un bonheur.
- Autre bonheur c’est d’être envahi tout à coup
par Tommy qui fait intrusion sans vergogne dans mes occupations.
Il tient à voir le Pére Noël et les
autres diaporamas ou bien il est arrivé tout nu et je dois le
redescendre dans la baignoire.
L’autre soir, vers 22h, il avait échappé à
la surveillance de sa mère pour venir retrouver Grand père.
(prononcer :"Grospèr")
Petits bonheurs pourriérois!
Une lumière extraordinaire sur la Sainte Victoire
hier matin :
Rose profond et lumineux dès 7h30,pâlissant pour atteindre
un doré flamboyant... même lumière sur le village., les
deux éléments éclairés comme par des projecteurs
et progressivement la lumière blanche du jour envahit tout et rompt
le charme du lever.
Tous les matins, je guette la lumière. Suzy.
Syvi :
Pour moi, un des bonheurs est de sentir le soleil et de voir
les magnifiques couleurs d'hiver dans notre campagne !
Je me suis offert avant une petite ballade en vélo et me suis
perdu dans la gadoue de la colline. Je suis rentrée après
deux heures de ballade, crottée et trempée d'avoir dû
traverser un ruisseau à pieds !
Aussi d'avoir des petites remontrances de mon papa !
Oui ma chérie tu es un de mes
principaux bonheurs. J'apprécie la finesse de ta sensibilité
et suis heureux d'avoir, de voir, une fille comme toi.
Je crains toujours une menace quelconque comme si ça ne pouvait
pas durer.
Et vraiment je voudrais être suffisamment désincarné,
à la fois distant et proche, pour vous accompagner sans vous gêner
sur votre chemin de vie.
combien pèse un flocon de neige ? (communiqué
par Denis Boucher)
diaporama .pps : "tempête de neige à
Terre neuve"
- Dis-moi, combien pèse un flocon de neige ?", demanda
la mésange à la colombe.
- Rien d'autre que rien", fut la réponse.
Et la mésange raconta alors à la colombe :
- J'étais sur une branche d'un sapin quand il se mit à neiger.
Pas une tempête, non, juste comme un rêve, doucement, sans violence.
Comme je n'avais rien de mieux à faire, je commençai à
compter les flocons qui tombaient sur la branche où je me tenais. Il
en tomba 3 751 952. Lorsque le 3 751 953 ème tomba sur la branche -
(rien d'autre que rien comme tu l'as dit) - celle-ci cassa."
Sur ce, la mésange s'envola.
La colombe, une autorité en matière de paix depuis l'époque
d'un certain Noé, réfléchit un moment et se dit finalement
:
- Peut-être ne manque-t-il qu'une personne pour que tout bascule et
que le monde vive en paix !
... si on est optimiste oui ; le contraire
si on est pessimiste. (bM)
Entendu une nuit sur une station de radio :
Le songe
C’est un monsieur d’un certain âge, gagnant sa vie en utilisant
des procédés pas très honnêtes. De temps à
autre sa conscience lui lance des coups de semonce pour tenter de le rappeler
à l’ordre.
Une nuit, il fait un songe : un ange vient le voir et lui dit : «
écoutes, il faudrait te décider à suivre une voie plus
conforme à la vie en société, je vais t’emmener voir
l’enfer et le paradis, et après tu choisiras »
Pendant le transport « virtuel », notre homme commence à
se représenter des images de feu, de flammes, de dragons rugissants.
Il est extrêmement surpris quand son guide lui dit « voilà
nous sommes en enfer » : il se trouve dans une très belle salle
de restaurant ou de très nombreux convives sont assis devant des tables
ou des mets de toutes sortes foisonnent. Mais, il y a un « mais »,
tous les convives sont équipés d’immenses fourchettes et ils
font tous d’horribles grimaces car ils ne peuvent attendre leur bouche, et
ne peuvent profiter de tous ces aliments…… « Maintenant nous
allons aller voir le paradis » et notre homme est encore plus surpris,
car le décor est le même, même restaurant, mêmes
mets délicieux offerts en quantité et les convives sont armés
des mêmes fourchettes immenses….
Mais détail d’importance, les convives ont tous l’air heureux et satisfaits
: chaque invité utilise sa fourchette pour donner à manger
à ses voisin et partager la manne.
Morale de l’histoire : sur toute la terre, les conditions de vie sont
les mêmes, mais les hommes peuvent transformer la société
en enfer ou en paradis selon la façon d’utiliser les richesses offertes
à tous les êtres humains.
Gaillac le : dimanche 25 janvier 2004